mercredi 28 décembre 2011

A propos du couronnement de l’actuel Pape de Rome

Il ne s’agit pas de s’associer à la nostalgie de fidèles défendant la tradition connue en leur enfance, mais de nous demander si le couronnement de l’actuel Pape de Rome, SS Benoît XVI, ne devrait pas  être appliqué, non parce que l’évêque e Rome serait au-dessus des rois, mais parce que pour la première fois et depuis fort longtemps, Benoît XVI remplit la mission confiée à Pierre de fortifier ses frères dans la Foi : « Simon, Satan vous a réclamés pour vous secouer dans un crible comme on fait pour le blé. ] Mais moi, j'ai prié pour toi, afin que ta foi ne disparaisse pas. Et toi, quand tu seras revenu, affermis tes frères. " (Luc XXII, 31,32)

 JPB
 

 

dimanche 25 décembre 2011

Espagne : un « marié » homosexuel voudrait être parrain

Espagne : un « marié » homosexuel voudrait être parrain

L'aricle hâtivement placé sur le blog, mérite une analyse selon les bases de la théologie morale, du droit canon, en définitive de l'ééquité, cela sans prendrre position en faveur de l'homosexualité comme élément insignifiant ou par avance accepté.

Il n'importe pas de condamner par vance une situation, mais de l'analyser et selon les conséquences qu'elle produira, alors seulement une décisioon canonique peut être envisagée.

Unze fois encore l'Eglsie de Rome dans les affaires de Droit, apllique la letree sans rechercher l'esprit, en l'occurence s'il est un bien supérieur qui dispense l'application d'un article codifié.

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Espagne : un « marié » homosexuel voudrait être parrain


Le curé de Huelma, Manuel Garcia
Comme il fallait s’y attendre, la légalisation du « mariage » homosexuel pose des problèmes qui vont au-delà du champ du droit et du bouleversement des normes sociales. Un curé de paroisse de la petite ville de Huelma dans la province andalouse de Jaén est saisi de la demande d’un couple qui souhaite choisir comme parrain de sa fillette de 6 mois un homme « marié » avec un autre homme. Le curé a refusé en soulignant que ce choix était contraire aux lois de l’Eglise.
Indignation de l’intéressé : l’homme en question dit n’y rien comprendre puisqu’il a toujours fait partie du groupe de catéchistes de la paroisse, de confréries et de l’organisation Caritas, comme il l’a fait savoir à la presse locale.
L’affaire prend donc de l’ampleur médiatique. Le curé s’est refusé à faire des déclarations publiques, s’en remettant à l’évêché qui a clairement rappelé les normes ecclésiastiques. Le canon 874 du Code de droit canonique exige ainsi qui que le parrain « soit catholique, confirmé, qu’il ait reçu le très saint sacrement de l’Eucharistie et qu’en même temps, il mène une vie en conformité avec la foi et avec la mission qu’il va assumer », a fait savoir l’évêché.
Celui-ci a ajouté avoir apporté ces précisions pour éviter les accusations autour d’une supposée discrimination reprochée au curé de Huelma, alors qu’il ne fait que « réitérer la nécessité de respecter les normes ecclesiales universelles ».
© leblogdejeannesmits

Source :  http://www.riposte-catholique.fr/jeanne-smits/espagne-un-%C2%AB%C2%A0marie-%C2%BB-homosexuel-voudrait-etre-parrain

vendredi 25 novembre 2011

L’œuvre scientifique de Jean Gaudemet




Information transmise par Fr. Roumy et Fr. Audren:

Université Paris 2-Panthéon-Assas

Institut d’histoire du droit

et

Université Paris-Sud 11



Centre Droit et Sociétés Religieuses



Colloque international



L’œuvre scientifique de Jean Gaudemet



Sceaux-Paris

26-27 janvier 2012

Programme

Jeudi 26 janvier 2012

(13h30-18h30) - Sceaux

Faculté Jean-Monnet, Salle Vedel,

54, boulevard Desgranges, 92330 Sceaux (RER, Station Robinson)



Accueil de Monsieur Jérôme FROMAGEAU, doyen de la faculté Jean-Monnet

  • Introduction: Panorama de l’œuvre de Jean Gaudemet, par M. Bernard D’ALTEROCHE, professeur à l’université de Versailles-Saint-Quentin et M. Olivier DESCAMPS, professeur à l’université Panthéon-Assas, Paris II

Sources et théorie du droit

PREMIÈRE SESSION

présidée par M. Jean-Louis HAROUEL, professeur à l’université Panthéon-Assas, Paris II

  • Le droit de l’Empire romain, par Mme Aude LAQUERRIÈRE-LACROIX, professeur à l’université de Reims Champagne-Ardenne
  • Le droit canonique du premier millénaire, par Mme Lotte KÉRY, professeur à l’université de Bonn

SECONDE SESSION

présidée par M. Jean-Pierre CORIAT, professeur à l’université Panthéon- Assas, Paris II

  • Le droit romain au Moyen Âge, par M. Franck ROUMY, professeur à l’université Panthéon- Assas, Paris II
  • Le droit canonique de l’âge classique, par M. Peter LANDAU, professeur émérite de l’université de Munich
  • Les codifications contemporaines, par François JANKOWIAK, professeur à l’université P aris- Sud, Paris XI



Vendredi 27 janvier 2012

(9h-12h) - Paris

Université Panthéon-Assas, Salle des conseils

12, place du Panthéon, 75005 Paris (RER, Station Luxembourg)



Accueil de Monsieur Louis VOGEL, président de l’université Panthéon-Assas



Le droit privé et la société

PREMIÈRE SESSION

présidée par M. Jacques FOYER, professeur émérite de l’université Panthéon-Assas, Paris II

  • Le droit privé romain, par Mme Emmanuelle CHEVREAU, professeur à l’université Panthéon-Assas, Paris II
  • Le mariage et la famille en droit romain, par M. René-Marie RAMPELBERG, professeur émérite de l’université René Descartes, Paris V

SECONDE SESSION

présidée par M. Bertrand ANCEL, professeur à l’université Panthéon- Assas, Paris II

  • Le mariage en droit canonique et dans l’Ancien droit par Mme Anne LEFEBVRE- TEILLARD, professeur émérite de l’université P anthéon- Assas, P aris II
  • Les personnes en droit canonique, par Mme Florence DEMOULIN-AUZARY, professeur à l’université de Caen Basse Normandie

Déjeuner libre

Vendredi 27 janvier 2012

(14h-18h) - Paris

Université Panthéon-Assas, Salle des conseils

12, place du Panthéon, 75005 Paris (RER, Station Luxembourg)



Le droit public

PREMIÈRE SESSION

présidée par M. Jean-Jacques BIENVENU, professeur à l’université Panthéon- Assas, Paris II

  • Le droit public romain, par M. Giuseppe FALCONE, professeur à l’université de Palerme
  • L’Église et l’Empire romain, par M. Aram MARDIROSSIAN, professeur à l’université P aris-Ouest, Nanterre-La Défense

SECONDE SESSION

présidée par M. Guillaume DRAGO, professeur à l’université P anthéon- Assas, P aris II

  • Le pape et l’évêque au Moyen Âge, par Mme Michèle BÉGOU-DAVIA, professeur à l’université Paris- Sud, Paris XI
  • Les rapports entre l’Église et l’État à l’époque moderne et contemporaine, par le R. P . Jean-Paul DURAND o. p., professeur à l’Institut Catholique de Paris

  • Conclusion: Rapport de synthèse, par M. Francesco MARGIOTTA BROGLIO, professeur émérite de l’université de Florence

Cocktail



Lieux

  • Jeudi 26 janvier 2012 (13h30-18h30): Sceaux, Faculté Jean-Monnet, Salle Vedel, 54, boulevard Desgranges, 92330 Sceaux (RER, Station Robinson)
  • Vendredi 27 janvier 2012 (9h-18h): Paris, Université Panthéon-Assas, Salle des conseils, 12, place du Panthéon, 75005 Paris (RER, Station Luxembourg)

Entrée libre



Contact:







jeudi 10 novembre 2011

"Lumière sur la succession apostolique des Catholiques"

Un article certaine ment rédigé par un Internaute de confession Protestante, pose un certain nombre de questions, selon le lien :


 Il serait certes aisé de répondre à chacun des points soumis, je me contenterai présentement de ne le faire que relativement à l’hésitation posée sur la continuité « physique » de la chaîne apostolique reliant les évêques aux Apôtres.

Il peut être très certain que la chaîne s’est trouvée rompue ou même annulée, pour défaut dans le sacrement de l’Ordre de la ferme intention de « faire ce que fait l’Eglise », condition posée à la validité par opposition à la licéité dans l’administration des sacrements.

Quand bien même cela aurait pu être, l’Eglise étant bâtie sur la Foi de Pierre comme le souligne Origène, mais aussi et surtout étant soutenue par l’Esprit Saint, le principe d’équité ou Epikie veut que La Grâce supplée aux manquements de l’homme.

Le mystère de la Grâce est totalement étranger à la pensée Protestante qui privilégie le principe d’une justification, retirant donc à l’homme le moyen de Réparer,  suppléer, par les prières, les bonnes actions comme nous y encourage Pierre en sa 2° Epître qui va d’ailleurs bien au-delà puisque l’œuvre de l’homme peut hâter l’avènement du Jour de Dieu.

Tenter d’entrer dans les mystères de La Grâce, suppose que préalablement nous ayons une conscience du Spirituel, au moins dans ce que constituent ou peut constituer  la Prière, mais aussi les Sacrements.

JPB

Les francs-maçons dans la Libre Belgique

Il convient de ne pas tout mélanger. L’Ancienne Maçonnerie et celle (trop rare aujourd'hui) fidèle aux Anciens Devoirs, était Chrétienne et même Catholique.

C'est la révolution Andersonienne s'opposant clairement à Rome en 1723 qui provoqua la première condamnation et Anderson amena progressivement l'essentiel des FM à être a-dogmatiques et libéraux,  niant que le GADLU soit Dieu.

 La GLUA déclare reconnaître sous Le "vocable" GADLU, un Etre suprême bien entendu indéfini, et Anderson privilégiera "la religion naturelle" contre la Révélation Chrétienne.

Reste donc à savoir de quelle FM on parle, cette affaire n'étant pas question de Rite (fut-il Rectifié...) mais d'adhésion des membres de la FM à la Foi de l’Eglise Indivise.



samedi 5 novembre 2011

BOUBAKEUR et le droit canon !

On sait comment Dalil Boubakeur fait protestation permanente d’être un adepte de la démocratie et de la laïcité à la française. Mais il n’y a pas besoin de le pousser pour qu’il réagisse en vrai musulman, c’est-à-dire en musulman incapable d’imaginer qu’il puisse y avoir une autre vision du monde que le totalitarisme islamique.

Ainsi a-t-il déclaré, à propos de l’incendie de Charlie Hebdo, que le mot charia « fait frémir la presse et l’Occident » mais que les gens qui l’utilisent ne savent pas ce qu’il signifie. Or il s’agit, explique-t-il, du « système des règles qui régissent notre vie quotidienne ». Et si l’on veut trouver un équivalent dans le monde catholique, « il y a un droit très clair, qui s’appelle le droit canon ».

Sauf que le droit canon, justement, n’est pas du tout le système des règles qui régissent la vie quotidienne des catholiques. Car le Fondateur de l'Eglise a inventé la laïcité, la distinction entre le religieux et le profane, et le droit canon ne concerne que les affaires proprement religieuses